En 2016, 40 cas d’extrémisme vio­lent ont été signa­lés, sen­si­ble­ment plus qu’en 2015. Vingt cas concer­naient l’extré­mi­sme de droite, 15 cas le dji­hadisme, 3 cas l’extré­misme de gau­che et un cas l’ethno-natio­na­lisme. Toute­fois, ces pos­tu­res extré­mis­tes n’ont donné lieu à aucun acte concret de vio­lence.
Plus de 1000 cadres de l’armée ont pris part à des cours de sen­si­bi­li­sa­tion et de for­ma­tion, qui cons­ti­tuent le meil­leur moyen de pré­ven­tion contre l’extré­misme.