Après bien des atermoie­ments, le Conseil d’État a fina­le­ment décidé de rem­plir ses obli­ga­tions à l’égard de l’Asso­cia­tion Lavaux Patri­moine mon­dial. Le Service can­tonal de l’agri­cul­ture et de la viti­cul­ture lui alloue en effet une enve­loppe de 400’000 francs sur cinq ans, renou­ve­lable.
Rappelons qu’un site inscrit au patri­moine mon­dial ne se résume pas à une curio­sité tou­ris­tique. C’est un bien consi­déré comme pré­cieux pour l’huma­nité. L’État sur le terri­toire duquel il se trouve est tenu de tout faire pour en assurer la pré­ser­va­tion.