En Suisse, entre 2015 et 2016, les tra­vail­leurs ont eu deux fois plus d’acci­dents pen­dant les loi­sirs (en hausse de 0,8%) que dans l’exer­cice de leur pro­fes­sion (en baisse de 0,2%). Chez les chô­meurs, le nom­bre d’acci­dents de loi­sir a crû de 7,7%. Le sport est le prin­ci­pal loi­sir acci­den­to­gène, le foot­ball repré­sen­tant jusqu’à un quart des bles­sés.
Le profil des accidentés varie for­te­ment d’un can­ton à l’autre : acci­dents à l’exté­rieur ou à l’inté­rieur, vic­ti­mes rési­den­tes ou étran­gè­res, etc.