L’idée de gérer le risque d’atten­tats par le contrôle des flux finan­ciers est depuis long­temps cri­ti­quée par les spé­cia­lis­tes. Nicoletta della Valle, direc­trice de fedpol, l’admet aujour­d’hui : « Avec peu de moyens, le ter­ro­risme low cost peut frap­per n’im­porte qui, n’im­porte où, n’im­porte quand. »
Une meilleure colla­bo­ra­tion devrait être mise en place entre le Ser­vice de ren­sei­gne­ment de la Confé­dé­ra­tion et les pri­sons, foyers pri­vi­lé­giés de la radi­ca­li­sa­tion.