La vente directe de lait, de la vache au consom­ma­teur par le plus court che­min, c’est pos­si­ble ; mais mar­gi­nal. Pour­tant, « en vente directe, le litre rap­porte 50 cen­ti­mes de plus que lors­que nous le ven­dons à l’in­dus­trie » expli­que une éle­veuse de Romont, qui écoule 10% de sa pro­duc­tion en vente directe.
Précaution à prendre par le consom­ma­teur : chauf­fer bri­ève­ment le lait à 72°C (pas­teu­ri­sa­tion) et ensuite le conser­ver impé­ra­ti­ve­ment au frais.