Même si la cancérogénicité de cet herbicide n’est pas avérée, 1900 exploitations bernoises (9500 ha) s’engagent, à titre expérimental, à ne plus l’utiliser. Selon une étude française, en tirant parti des caractéristiques du sol et du climat, il est possible de réduire fortement l’usage de pesticides sans perte de production.
Dans le canton de Berne, le coût de l’expérience (62,7 millions CHF) sera principalement pris en charge par l’Office fédéral de l’agriculture. On évaluera les résultats en 2022.